Déjeuner circassien Le Repas
Le fil rouge de la saison 2024-2025 est circassien et gourmand ! Un dimanche midi par mois, Le Plongeoir convie une équipe artistique à inventer un déjeuner circassien.
Qu’est-ce qu’un repas ? Une nécessité vitale de se nourrir autant qu’un rite de sociabilité où les intimités, les manières de faire et d’être se dévoilent. Comme si la banalité de ce moment nous offrait les richesses de la rencontre de l’autre.
Fil rouge de la saison imaginé par Le Plongeoir, Le Repas donne carte blanche à une équipe artistique pour transformer un repas en spectacle une fois par mois. La règle est toujours la même : une invitation pour une centaine de convives à déjeuner un dimanche sur la piste du Chapiteau, une journée pour les artistes afin de créer le spectacle à manger.
Défi pour les artistes invités, jeu à partager où tout est possible car rien n’est écrit à l’avance: Le Repas est un moment artistique et convivial à partager avec qui vous voulez !
En décembre, Le Plongeoir invite Fanny Soriano et la compagnie Libertivore (acrobatie et danse).
La compagnie Libertivore a été créée en 2005 par Fanny Soriano (danseuse, acrobate aérienne) et Jules Beckman (musicien, performeur multidisciplinaire). Ensemble, ils créent le spectacle Libertivore (lauréat Jeunes Talents Cirque 2007). Par la suite, Jules Beckman fonde la compagnie Transminuko et Fanny Soriano prend les rênes de Libertivore. La compagnie a six créations à son actif : Hêtre (2015), Phasmes (2017), Silva (2017), Fractales (2019), Éther (2021), Brame (2023). Le spectacle Faune est en création pour 2025.
Auteure et chorégraphe de la compagnie, Fanny Soriano développe un travail corporel mêlant cirque et danse, agrémenté de recherches sur la matière organique. Son cirque, d’essence métaphysique, vise à explorer les relations entre la Nature et la nature humaine : autour d’un corps matière, malléable et métamorphosable. Le langage acrobatique de Libertivore sonde la place de l’humain dans un biotope (sur)naturel. S’inspirant des respirations de la nature, dont elle tire agrès, scénographies et accessoires, elle cherche à mettre en valeur les vertus d’une simplicité parfois indécelable, méconnue ou mésestimée.
